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— 30 octobre 2022 // ouverture du forum —



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[Oraison] de Cosme Gahekin

@ Le bâtisseur

Le bâtisseur
Les mots sont des armes.
Personnage
Elan de vie
Murs oubliés
Libre.
[maître du jeu]
faceclaim : w/tiababylo.
messages : 223
# pièces : 673
Joueur.se
#
Jeu 10 Nov - 13:03

L'oraison de Cosme Gahekin

⋆ citation
@Cosme Gahekin
tw : ----- aucun -----  
Le vent souffle fort sur les Frontières de Glace. Rien n'est visible à l'horizon, rien à part de la glace à perte de vue.

Puis se matérialise quatre Mercenaires du Chaos. L'un d'eux est un Mentaï, il disparait avec un pas sur le côté pour revenir avec un apprenti. Le Mentaï prend la parole, sa voix est sèche, rocailleuse, pleine de violence contenue.

" Mercenaire, voici venue l'heure de ton oraison.  "

Le Mentaï l'observe un instant avec ses yeux noirs comme la nuit, puis les quatre disparaissent, sans aucune explication. Cosme comprend vite qu'il doit survivre, dans le noir, le froid, et sans aucun doute les dangers qui vont joncher son chemin.


1ère étape

Voici la première étape de cette oraison. Tu vas devoir répondre en une quinzaine de lignes minimum. Tu peux soit raconter l'état d'esprit de ton personnage, ses doutes, ses certitudes, ses craintes, soit raconter en flashback comment il a vécu son entraînement pour l'amener ici.
Seule chose obligatoire // ta réponse doit s'achever par les premiers gestes de ton personnage pour s'en sortir dans cette situation, sachant que de nombreuses épreuves l'attendent...  
N'oublie pas également de tagguer   @Le bâtisseur dans ta réponse pour qu'il vienne te proposer l'étape 2.
Bon courage, tu as une semaine.  
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@ Cosme Gahekin

Cosme Gahekin
Les mots sont des armes.
Personnage
faceclaim : Lewis Tan
messages : 55
# pièces : 154
aspiration : Le corps est un temple de violence et le monde n'a de sens que dans son chaos.
guilde : Mercenaire du Chaos
race : Ts'lich. Le corps possède sa propre mécanique, la monstruosité presque palpable sous les sourires en coin.
âge : 35 ans et autant de cicatrices
statut : Mercenaire du Chaos - guerrier à la solde de l'Obscur

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Joueur.se

L'univers alavirien
tw: none
pronoms: Il (Cosme) - Elle (moi)
nombre de mots: ~750
disponibilités rp: On ne refuse pas les friandises, jamais.
double face: nope
#
Ven 11 Nov - 15:20

Oraison

That's how you get deathless
@Le bâtisseur  quête privé
tw : none
Au commencement, le néant. L’appel en abîme, le désordre en sang et cette terre qui gronde sous leurs pieds, sur leurs têtes – l’anarchie en seul échappatoire.

Il vient d’un peuple antique, pinces tournées vers les astres, mandibules cliquetantes en chants audacieux – les Ts’liches, vestiges antiques des ténèbres environnantes. Il n’y a rien de complétement humain chez lui sauf cette enveloppe nouvelle, cette épiderme grisante qui le comprime autant qu'elle le libère.

Cela ne change rien. La mémoire collective reste, envers et surtout contre tout.

( Voilà ce que les livres d'Histoire ne vous dise pas: tandis que les fondations d’un empire s’élèvent en phare de Lumière, les siens s’effacent dans l’obscurité. Ne reste alors que ces ombres forgées dans la rancune et la colère, macérant dans le suc laissé par des entrailles déversées sur les sols boueux de leurs anciens territoires. En écho terrible, ils entendent tous ces discours sur des harmonies dérisoires, toute ces chétives palabres visant à réguler les inévitables bouleversements tapis dans la nuit.

Pauvre humanité.

On ne peut rien contre le mouvement.)

Aujourd'hui, les mercenaires se font horde, griffes d’or et d’argent tournées vers les cataclysmes à venir. Il sait qu'il doit les rejoindre.

Car c’est ainsi que le Chaos débute. Dans l’attente et la fièvre.

Mais vous le saviez sûrement déjà, n’est-ce pas ?

(Il n’y aura aucun repos. Pour personne.)

***

Aux enfants du Chaos, nous vous laissons cela – les gouffres et les abysses. Cosme ne dit rien quand il sent la lourde poigne à son épaule, sait déjà ce qu’on attend de lui. Survivre, toujours et encore. Le Chaos est la Vie, malgré tout. Les Ts‘liches le savent d’instinct. On les poste enfant au bord des fenêtres, le corps encore frêle, les cris encore gutturaux - et si le nourrisson tient trois jours et trois nuits alors il peut continuer à arpenter ce monde, à se faire chair là où il n’y avait encore rien.

Sous la poussière des vallées sableuses ou dans l’antre des murs de glace, on trouve l’Histoire – la leur, la sienne aussi - celle que certains remanient dorénavant jusqu’à la nausée dans les hautes tours des palais de Gwendalavir.

On y trouve surtout du sang mêlé à la terre. Vermeil sur ocre. Vie et mystère. Chaos.

C’est l'héritage barbare qui prédomine, celui des combats et des luttes sans fin. Vivre demande un entrechoc perpétuel : des corps et des âmes, des volontés et des désespoirs. On le laisse seul sur la banquise et le cœur s’allume d’un feu inaltérable. On lui dit va, survis et il avance.
Même avant tous ces jours sombres, même avant ces marches interminables contre ceux qui n’ont qu’Harmonie sur les lèvres, on les prépare. L’Oraison exige plus que ce que l’on croit être possible, plus que ce que l’on croit posséder. Plus que ce que l’on croit avoir.

C’est la seule façon de faire.

(Nous voulons juste que vous compreniez.)

***

Les phalanges se dénouent, les pensées s’insurgent. La glace est une introspection brutale. L’harmonie que la banquise dégage est trompeuse : la surface est lisse, les montagnes ont cette couleur douce de mort assuré. Tout est tapis sous la surface. Cosme a quinze ans. L’apprentissage l’a cueilli alors que le cœur couvait de rage liquide aussi pâle qu’un soleil en décomposition. Le froid n’a jamais été son élément mais il s’acclimate, les éléments en collier d’obscur autour de son âme. Il peut déjà sentir les sortilèges vibrant sous ses pieds, perçoit sans ombrage le corps des innocents s’empilant sous la finesse de l’eau glacée, voit le souffle se faire vapeur funeste aux bord de ses lèvres.

Le silence crépite comme un feu patient à ses oreilles. L’hiver perpétuel du Nord a ses propres bourreaux fait de souffles foudroyant qui vous pénètrent les os et d’impassible promesse de frigides ébats sous ses températures en chute libre.

Il rajuste sa tunique avant de tendre ses bras un instant vers son trépas programmé et de fermer les yeux. On l’a laissé sans rien, sans vêtements chauds, sans protections quelconque. Le voilà de nouveau tout-petit à sa fenêtre sous les soleils ardents des déserts perdus. Dorénavant le soleil sépulcral et glacé le couve et après quelques minutes, il rouvre son regard d’ébène sur le ciel étincelant.

Il a survécu alors, il survivra encore se dit-il dans un éclat sombre.
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@ Le bâtisseur

Le bâtisseur
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Sam 12 Nov - 17:38

L'oraison de Cosme Gahekin

⋆ citation
@Cosme Gahekin
tw : ----- aucun -----
Pendant plusieurs heures, rien ne se passe. Le vent souffle toujours, le froid est toujours glaçant, mais rien ne vient troubler l'horizon glacé. Jusqu'à ce qu'un grondement se fasse entendre. D'abord étouffé, il devient de plus en plus fort, comme s'il se rapprochait.

C'est à ce moment que le vent choisit de s'intensifier, provoquant une tempête de neige qui bouche la vue du Mercenaire. Mais le grondement est toujours là. Puis, soudainement, il s'arrête. Le silence tombe, comme irréel, jusqu'à ce qu'une forme apparaisse devant Cosme. Un tigre. Grand de 2 mètres, large d'un, il pourrait gober le jeune homme. Mais il se contente de le regarder, pendant plusieurs minutes.

Et il attaque.

2ème étape

Voici la seconde étape de cette oraison. Tu vas devoir répondre en une quinzaine de lignes minimum. A toi de raconter comment ton personnage se sort de cette situation.
Seule chose obligatoire // ta réponse doit s'achever par la fin de cette première difficulté. [Oraison] de Cosme Gahekin 3394888448
N'oublie pas également de tagguer @Le bâtisseur dans ta réponse pour qu'il vienne te proposer l'étape 2.
Bon courage, tu as une semaine. [Oraison] de Cosme Gahekin 3526611325
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Cosme Gahekin
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Mer 16 Nov - 9:15

Oraison

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@Le bâtisseur  quête privé
tw : none
Pendant plusieurs heures, rien ne se passe.

Il erre sur la banquise, le froid en manteau d’albâtre, la peau tendue sous le vent glacé de la région. Il note les détails qui n'en sont pas tant ils brillent sous le soleil polaire : l'absence de vie, le fond sonore comme un ronronnement permanent, l'éclat cobalt sous la nappe blanche qui s'étale à perte de vue et qui rappelle que les abysses ne sont jamais bien loin.

Cosme sent le couteau émoussé dans sa poche, celui qu'on lui a laissé comme un pied-de-nez supplémentaire, une promesse mortuaire à même les dents caducs d'une lame élimée. Il s'arrête sur la glace, les pas figés, le souffle en volutes brumeuses s'échappant de ses lèvres. La notion d’espaces infinis, d’horizons perdus et de transparence en opale scintillante reluit dans le regard sombre tandis qu’il perçoit le danger de façon quasi animale, les pulsations tch’lises grognant sous l’épiderme étranger. Il y a quelque chose. Qui rampe et qui vient et qui hurle – quelque chose de terrible et de violent, qui suinte le sang et les cris stridents dans les déserts étoilés de neige et de merveille.

Cosme lève à nouveau son regard, posant sur son front une main en visière, sa présence électrique, son attention affuté. Il regarde l’heure en observant la course du soleil, laisse le vent lui indiquer les directions à prendre, optimise son énergie en la gardant intacte. Les leçons de ces derniers mois n’ont pas à lui revenir en mémoire : elles sont inscrites en fer rouge sur sa chair. Par des conseils, par des coups, par des cicatrices, par l’expérience. Aller au-devant du danger c’est se ménager lui a toujours dit son maître et la souffrance qui en découle est un avant-goût précieux de carnage. Alors, même ici, même maintenant, il avance à pas lent, le dédale des pêchés comme un labyrinthe sulfureux le long des plaines cristallines. Il a la certitude que l’horreur chemine aussi vers lui. Il n’a pas tort.

Soudain, le Chaos surgit.

Dents longues et mâchoires d’acier sous la tempête de neige. Le sang stagne à la manière d’une eau qui frémit seulement, l’incandescence encore contrôlé. La fourrure de l’animal sent la boucherie – l’hémoglobine en parfum rance et des promesses de torture le long des canines aiguisées. Cosme a le teint blême, le regard si bilieux qu’il en devient opaque tandis qu’il mesure dans un coton blanc la taille du tigre devant lui. Les créatures de leur monde n’ont jamais été cordiales et la respiration le creuse jusqu’au tréfonds de l’âme. Abandonner c’est mourir. Le choix, il ne l’a jamais eu – pas plus hier qu’aujourd’hui.
La violence couve en fermentation turpide. L’atmosphère pue. De la chair, de la viande et de la peur, c’est ce qu’il perçoit alors que le monstre se rue vers lui dans un cri à faire trembler la glace. L’apocalypse titanesque d’une masse informe lui vomit des tambours sourds aux oreilles qui se répercutent jusqu’à son champ de vision. Très bien. Très bien. Très bien.

C’est maintenant et jamais.

Il a le le chaos dans le sang, le tonnerre au fond de la gorge. C’est son enfance qui ressurgit, la fenêtre et le désert, sa nature et ce corps fait de muscles et de sang si terriblement chaud. Il détend les jambes, lance l’impulsion de vie et de discorde et fond sous le vent à son tour, cherchant à en épouser les contours pour mieux s’élancer vers la bête. Le tigre rugit et claque sa patte et ses griffes là où il était encore il y a deux secondes. La glace craquèle et se brise, des geysers cobalt éclaboussant tout sur son passage. Un autre coup puis un autre. Cosme inspire et roule sur l’asphalte givré. La douleur transperce sans l’atteindre. L’adrénaline protège encore. Il observe à chaque débandade : la banquise et les mouvements. Il se prépare, un éclat hideux sur ses cheveux d’onyx, la mer de nord sur l’œil pernicieux. Il a un désir là dans la gorge, celle de laisser les cataclysme se répandre et tout avaler. Le tigre rugit. Il en fait de même. Il sait comment il va faire pour en venir à bout.

Une histoire de cercle. Le Chaos en ligne continu, rond d'horreur et d'épuisement.

Il tire le couteau émoussé qu’on lui a donné sans quitter du regard l’animal. Le tapage s’accélère, la fièvre terrasse, les muscles vibrent. Il danse avec le vent, la peur et la mort. Le cuir brutalise la neige sous ses pas et il contourne pour mieux se faire ascension barbare, plantant la lame émouchetée dans le coin de l’œil de la bête. Il la coince, le poignet décisif, dans cet interstice à l’intérieur blanc et se laisse choir dans un bruit rude sur le sol. Le supplice lui remonte le long des os, la carcasse se figeant un maigre instant, assez pour que le tigre le percute et l’envoie plusieurs mètres plus loin. L’animal est frénétique, louchant soudainement d’un œil, le tic impétueux, balançant sa gueule de gauche à droite avant de darder sa folie sur l’objet de son ire.

Cosme se relève, le souffle court, de la bile plein la bouche. L’enfer a la couleur du pelage de celui qui se cabre et vient porter sa gueule béante sur lui. Il va au-devant, se hâte pour mieux contourner le colossale gouffre sertie de dents. La langue fumante qui pend en gourmandise macabre manque de le percuter et le son guttural qui en découle menace un temps de l’assourdir. Il l'esquive, cherche à le faire tourner en rond, à ce que le poids frappe en séisme certains endroits - là où la glace se fait instable et où les désordres à venir sont promesses fatales.

Le tigre est agile et souple. Les griffes viennent érafler un instant le dos du tch'lise tandis qu'un hurlement rauque zèbre sa gorge. Les omoplates se couvrent d’écume chaude et collante. Un haut le cœur le saisit et il tremble dans un gémissement âpre sous la douleur indicible. L’animal n’en a que faire, l’œil éclaté d’un vermeil dangereux là où le petit bâton de bois et de fer élimé fait son office. Le tigre rugit à nouveau, le son venant se répercuter jusque sur ses os. Cosme se hisse  rapidement sur les pieds, la brûlure en lame de torture le long du corps meurtri. Il titube puis observe le temps d’un cillement, à peine, l’espace derrière lui avant de darder un sourire vénéneux sur son adversaire. C’est là où la bête a frappé la première fois, là où l’eau dévore du terrain.

Ils sont proche du dénouement et s’il titube, c’est surtout parce que la glace se tend vers le fond. « Viens… viens. » La créature se soulève et s’abat à la manière d’un tonnerre un jour d’orage. Elle se fait apocalypse en brisant le reste de la glace tandis que l'impact gronde en écho sournois. L’eau à cette température brûle d’un gel implacable et le raz de marée vient percuter le guerrier de plein fouet. Cosme sent le déséquilibre, une pointe ténébreuse de panique sur la langue. Il ferme in extremis les yeux, la tourmente en cocon, le petit pas en exergue final. Il visualise, le corps transporté et se retrouve un peu plus loin, le corps endolori et la satisfaction acide.

De quoi fermer les yeux puis les rouvrir sur le sinistre ravage, la patte du tigre cherchant – en vain – à s’agripper à la mer polaire qui, déjà, l’engloutit.
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@ Le bâtisseur

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Mar 22 Nov - 19:37

L'oraison de Cosme Gahekin

⋆ citation
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tw : ----- aucun -----  
Le tigre s'avança pour attaquer Cosme, uniquement armé d'un poignard émoussé. Celui-ci joua bien, et attira l'animal affamé jusque dans une rainure de glace, qui finit par s'effondrer sous son poids. Le tigre poussa un hurlement à glacer le sang au fur et à mesure que la neige l'engloutissait, et il finit par disparaître sous la couche glacée. Cosme s'en est tiré et peut se reposer ... Pour l'instant.

Quelques heures passèrent, pendant lesquelles la tempête de neige s'intensifia. Puis, soudainement, le vent retomba et tout près apparut une ombre. Un ombre immense, imposante, qui se révéla être un ogre. Un gigantesque ogre, haut de trois mètres et large de deux, tenant dans sa main un gourdin. Les extrémités du corps de l'ogre avaient déjà commencé à geler, les colorant de bleu froid par dessus le vert profond de sa peau.

L'ogre avait froid et faim, et il était furieux. Il avait été assommé, puis apporté ici par un pas sur le côté. Il était loin de siens et de la chaleur habituelle de son environnement. L'ogre avait soif de sang, il voulait tuer pour se venger de cellui qui avait osé le transporté jusqu'ici, et pour ça il s'en prendrait au premier venu. Manque de chance ou fait exprès, ce fut sur Cosme qu'il tomba. Et sa détermination à le réduire en bouillie n'avait d'égal que sa stupidité.


3ème étape

Voici la troisième étape de cette oraison. Tu vas devoir répondre en une quinzaine de lignes minimum. A toi de raconter comment ton personnage se sort de cette situation.
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