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— 30 octobre 2022 // ouverture du forum —



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(nel) confusion temporelle

@ Médée Vil' Reiss

Médée Vil' Reiss
Les mots sont des armes.
Personnage
Elan infini, devenu humain
Emoi devant le parfait équilibre
Larme
ahn-ju // maud // nel
faceclaim : phoebe tonkin. ft/les amours lunaires.
messages : 411
# pièces : 121
aspiration : L'Harmonie autour du cou comme un bijou, pierre lustrée aux allures hédoniques.
guilde : Marchombre, la liberté en étendard.
race : Humaine.
âge : Vingt-neuf ans, et les ridules qui commencent à marquer son visage autrefois jouvenceau. La peur de l'avenir, la terreur de ce miroir qui tend à se briser.
statut : Son agilité au service des caravanes itinérantes, sa fragilité enfermée dans son cœur pur vacillant aux rayons de la lune..

(nel) confusion temporelle Tumblr_ndpf2lHISp1rzadffo1_500

deck : gantelet à griffes. # dague.
capacités/pouvoirs : La gestuelle marchombre au fond d'elle-même. # La poésie qui virevolte sur le bout des doigts qu'elle envoie d'une trainée d'argent vers les rayons de la lune. # Greffe, un tatouage de cible dans le cou duquel peuvent sortir des flèches acérées.
compagnon : Rune, son loup du nord, bête au tempérament de feu et aux griffes acérées.
Joueur.se

L'univers alavirien
tw: pas de tw spécifique à souligner, pour l'instant.
pronoms: elle (elle).
nombre de mots: entre 600 et 1500 mots.
disponibilités rp: [5/5] tout à fait disponible.
double face: Pas encore.
#
Dim 6 Nov - 14:21

confusion temporelle

⋆ if i still request a pinky promise
tw : aucun. ------
@Nelis Gonques  
La beauté d'Al-Jeit lui saute aux yeux, à la jeune marchombre, lorsqu'elle franchit à nouveau l'arche majestueuse de la capitale alavirienne. Elle n'a pas pour habitude de voguer sur ces contrées-là, trop solitaire qu'elle est pour appréhender avec optimisme le monde et la nuée des habitant.e.s. Il n'y a rien pour elle dans cette ville, mais cela ne l'empêche pas de s'y arrêter parfois, flânant entre les marchandages, les étals du grand marché, s'arrêtant prendre un ragoût de siffleur dans l'une ou l'autre des bonnes adresses de la ville. La caravane s'arrête quelques jours dans la capitale, enchaînant les spectacles et amusant les enfants, ces prunelles émerveillées enchantent toujours autant la jeune marchombre qui ne passe pas une soirée sans s'asseoir confortablement entre les badauds amassés. Poésie spectacle. Elle profite donc de l'aubaine pour se confronter aux ruelles d'Al-Jeit, et admirer de ses yeux enfantins la superbe vue sur le Pollimage.

Elle en est là, Médée, lorsque ses yeux s'arrêtent un instant sur une silhouette qui lui semble familière. Elle croit rêver, se perdre dans des illusions féeriques, et en oublie pour un temps la fameuse ombre qui passe à ses côtés et traverse l'arche sous le soleil de cette fraîche journée automnale. C'est le vent qui lui ramène des souvenirs. Cette odeur portée par les bourrasques gelées de la matinée, des effluves discrètes mais bien présentes du bord de mer, des mouettes et des rivages, comme des relans de voyage. . Madeleine proustienne.
Elle se tourne, mais il est trop tard. La silhouette a déjà franchi le bord de l'arche, et se perd dans les rues bondées de la capitale, sans plus laisser le moindre espoir à Médée de la retrouver. De toute façon, il s'agissait sûrement d'un rêve, d'un souvenir ancien et délavé d'un passé qu'elle peine encore à oublier, la jeune marchombre.

Il se fait tard lorsque Médée rentre enfin dans une auberge pour profiter d'un délicieux ragoût. Mais soudain, l'odeur lui revient au nez, lui chatouille les narines, et portée par ses sens, la jeune femme jette un œil aux silhouettes qui peuplent la taverne. C'est sur l'une d'elle que ses prunelles s'arrêtent : un homme, visiblement, de haute stature, musclé, tant son pourtour athlétique manque de craquer sa chemise. Il a les cheveux bruns, et sans qu'elle ne puisse distinguer ses yeux, ni la finesse de son visage, Médée se laisse transporter dans son passé. Réminiscences.
Le sabre se fiche dans le mannequin avec une aisance irréelle. Le regard rassurant de Nel se pose sur elle alors que, comme chaque matin, la jeune apprentie s'entraîne et tente de comprendre ce qui, dans son corps, l'empêche encore d'obtenir la bonne posture. Elle n'est pas loin, elle le sent, mais ses jambes sont encore trop peu vives, ses mouvements trop saccadés. Elle veut y mettre trop d'énergie, quelque chose de trop enfantin en elle l'empêche de progresser sur la voie de la placidité, de l'évidence. Elle vacille, Médée, lorsqu'elle retire le sabre du mannequin d'un geste trop vif, et des bras empêchent sa chute, dans le silence. Elle ne l'a même pas vu s'approcher, n'a même pas senti sa présence, et pourtant, il est là le marchombre, son maître, et il l'empêche de heurter le sol de sa présence rassurante. C'est vers ça qu'elle doit tendre. D'un regard empli de toute sa reconnaissance, elle le remercie, et continue sa quête de l'harmonie.

Nel, elle le sent, elle le sait. C'est avec terreur qu'elle se lève de sa table, avec les jambes qui flagellent sous son poids, c'est la peur nouée au fond du ventre qu'elle s'avance, mais chaque pas lui est comme un coup de poignard au creux du dos. Elle pose une main sur cette épaule, alors qu'elle est derrière lui, maintenant, n'attend pas qu'il se retourne avant de laisser sa voix briser le silence : " Nel ? " Bientôt, elle saura, et cela la tétanise.  
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https://tentaculesdumal.forumactif.com

@ Nelis Gonques

Nelis Gonques
esprit libre
Personnage
âme lumineuse
liberté chérie
marchombre
faceclaim : travis fimmel (babine)
messages : 24
# pièces : 71
aspiration : harmonie
guilde : marchombres
race : humain
âge : 43 ans
statut : marchombre qui se lance à coeur perdu dans de nombreuses quêtes, situation pécunière confortable

(nel) confusion temporelle BackTeemingAmericanwarmblood-size_restricted

deck : gantelet à griffes + dague
capacités/pouvoirs : Gestuelle marchombre
Greffe
compagnon : /
Joueur.se

L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle
nombre de mots: cela dépend de l'inspiration
disponibilités rp: ++++
double face: Dawn Lyriant
#
Dim 6 Nov - 17:48

CONFUSION TEMPORELLE

⋆ et retrouvailles hasardeuses

Deux semaines étaient passées. Deux semaines depuis qu'il avait été reçu dans un bureau soigné et sobrement décoré de Fériane, et qu'on lui avait remis un parchemin apposé d'un sceau de la confrérie des Rêveurs. Il y était fait état de la disparition d'Ema, sa sœur benjamine, survenu plusieurs semaines auparavant, sans la moindre trace, le moindre indice, et la confrérie n'avait aucune idée de ce qui avait pu se passer. Eux-mêmes ne savaient l'expliquer, et en cela, c'était inquiétant. Elle n'avait jamais émis l'idée de voyager, ou de se retirer pour un quelconque pèlerinage solitaire, pas plus qu'elle n'avait évoqué l'envie de quitter Tintiane. Nel était revenu immédiatement après à Al-Jeit et il avait informé sa guilde qu'il se lancerait à la recherche de sa sœur. Certains marchombres s'étaient portés volontaires pour lui apporter toute l'aide qu'il nécessiterait mais il avait poliment décliné; c'était sa sœur, c'était à lui de gérer. Deux semaines, donc, qu'il rendait visite aux mercenaires emprisonnés dans les geôles de la capitale pour leur demander s'ils avaient entendu parler d'elle; deux semaines qu'il attendait des courriers retour de ses contacts à l'extérieur de la ville et qu'il préparait son périple: Tintiane, premièrement, puis il aviserait. Deux semaines. Un soir, alors qu'il n'y tenait plus, que l'absence et l'incompréhension menaça le rendre fou, il s'évada sur les toits de la ville, jambes suspendues dans le vide, le souffle léger du vent sur son visage, cheveux dénoués. Il mis quelques heures à s'apaiser, quelques heures où les ombres s'élargirent, pour devenir ténèbres tout autour de lui; les bruits de la ville au dessous s'étaient éteints également, remplacés par le silence de la nuit la plus tranquille. Tout était calme. Tout se dénouait enfin, l'angoisse, au même titre que le nœud dans son estomac. C'est là qu'il la sentit. Une vieille brise, une brise amie, qui lui caressait le visage, au-même titre que des doigts fins l'auraient fait, qui l'assurait d'une chose, une chose certaine et qui approchait. Il sourit au vent, à la nuit et descendit se reposer dans la maison qui faisait l'angle de la grand place et des grands magasins d'herboristerie: elle arrivait. Il avait eu du mal à comprendre ce lien que son maître avait vaguement abordé lorsque leurs chemins s'étaient séparés; c'était bien avant qu'elle bifurque de la voie vers celle, plus tranquille et heureuse qu'elle avait embrassé par la suite, et si Nel n'avait rencontré sa fille qu'une fois, il n'en avait pas douté, il ne serait plus jamais amené à voir son maître, leurs vies se séparaient ici. Elle avait tenté de lui dire qu'il serait toujours là, auprès d'elle et vice versa, mais alors, elle aussi, ressentait-elle sa présence dans tous les souffles du monde, comme s'il n'était jamais parti, tant d'années après ? Les jours suivants, il continua ses préparatifs, la joie de savoir que son apprentie était proche de lui calmant un peu les battements douloureux de son coeur. Alors, pour tromper le sort, ou provoquer leur rencontre, il profita de ses soirées pour se promener dans la ville encore active et s'échoua chaque soir dans une auberge, partageant un repas, ou une choppe avec un voyageur solitaire, lui tirant quelques bribes de l'aventure qu'il s'en revenait de vivre, souriant aux anges, attendant qu'enfin, elle le retrouve. Ce qu'elle finit par faire. C'est le sourire aux lèvres qu'il tourna son sourire et les étoiles qui lui étaient montées aux yeux vers celle qu'il avait attendu ces derniers jours. "médée." Il y avait une tension différente dans ses épaules, une lame à sa hanche et ses cheveux n'avaient pas la même teinte que dans ses souvenirs mais c'était la même lueur de curiosité au fond de ses yeux, cette même flame qu'elle avait toujours porté, si haut, sans se demander si elle n'éblouissait personne autour d'elle. Elle était rayonnante, elle était sublime et il se sentit terriblement émue de la retrouver; même préparé, rien n'aurait su l'avertir de la femme qu'elle était devenue durant toutes ces années passées sans lui, et il mourrait d'envie qu'elle prenne siège à côté de lui pour lui conter toutes ses épopées. "Quel plaisir de te voir." Mais je le savais, ne lui dit-il pas, le vent t'avait annoncée, comme j'attendais qu'il le fasse depuis tant de temps. Je le savais, ne lui avoua-t-il pas, parce que je te l'avais dis, nos destins sont croisés à présent, et où que tu ailles, j'aurais toujours l'œil sur toi, toujours. Je l'espérais, ne se confia-t-il pas, parce que je traverse une passe difficile, et qu'au fond, j'espérais secrètement pouvoir m'en ouvrir à quelqu'un de confiance, et je n'ai guère personne d'autre que toi qui me donnait autant envie de parler. Il posa sa main sur celle que la jeune femme avait laissé traîner sur son épaule et la serra contre son coeur. " Que fais-tu à Al-Jeit?"
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