[fb] slow dancing in a burning room -- arès
@ Claw Jil' Arlan
Personnage
sombres.
sombres pensées.
sombres cœurs.
sombres cœurs.
sombres passés.
faceclaim : charlize theron @the-curious-corvidae
messages : 192
# pièces : 412
aspiration : (chaos) l'étincelle d'harmonie, aussi frêle qu'éphémère, s'est éteinte en même temps que son fils. ne laissant qu'obscurité et élans vengeurs.
guilde : (grande sentinelle) loup dans la bergerie, censé repousser la menace à laquelle pourtant il aspire.
race : (humaine) rumeur d'une ascendance ts'liche qu'elle se plait à faire prospérer. semer le doute pour que la banale vérité se transforme en sombre passé.
âge : (quarante-deux ans) qu'elle foule la terre vaine, semant destruction et désillusions dans son sillage.
statut : (aisé) l'ambition qui dicte ses pas, la notoriété qu'elle caresse du bout des doigts.
deck : (base)
- cône runique
- bouclier
- cône runique
- bouclier
capacités/pouvoirs : (base)
- l'Art du Dessin
- l'Art du Dessin
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: rien à souligner.
pronoms: elle.
nombre de mots: 700 en moyenne.
disponibilités rp: bientôt.
double face: nope.
L'univers alavirien
tw: rien à souligner.
pronoms: elle.
nombre de mots: 700 en moyenne.
disponibilités rp: bientôt.
double face: nope.
slow dancing in a burning room
octobre 2017.
@Arès Milgrim
De l’Harmonie au Chaos.
De la plénitude à la déchéance. Du rêve au cauchemar. Il n’y a qu’un pas. Qu’un seul. Un battement de cils. Un soupir. Une seconde d’inattention. Et c’est le drame. Y’a toute sa vie qui bascule. Toutes ses certitudes, ses rêves et ses aspirations qui s’effritent. Ça craque, ça se morcelle, et ça s’étiole. Pour mieux devenir poussière. Pour se mêler aux cendres et aux larmes salées. Claw souffre. D’une douleur aussi silencieuse que sournoise. Aussi invisible qu’incandescente. Y’a un gouffre qui s’est creusé dans son cœur. Un trou qui semble sans fond, infini, et qui dégage une noirceur jusqu’à présent jamais égalée. Ô, elle a la haine facile, Claw. A fait de la hargne sa plus fidèle compagne. Mais cette fois c’est différent. C’est plus puissant. Plus intense. Plus dévastateur. Elle a détesté son père pour sa trahison. A détesté sa mère pour la rudesse de son éducation et pour son manque d’amour à son égard. A détesté le Monde entier pour toutes les injustices qui se sont accumulées au fil des années. Et elle a fait de cette haine une Force. Pour se relever. Pour s’opposer. Pour s’élever. Toujours plus haut, toujours plus loin, toujours plus fort. Jusqu’à ce que tout s’enflamme.
Jusqu’à ce qu’elle serre son fils inanimé entre ses bras. Jusqu’à ce qu’elle sente la raideur de son corps froid contre le sien et que son regard se perde dans le miroitement infini de ses orbes sans vie. Claw pensait être forte. Avoir subi bien des épreuves et être arrivée au terme de tout ce calvaire. Tendre naïveté. Il fallait qu’elle caresse son rêve du bout des doigts. Qu’elle atteigne tous les objectifs qu’elle s’était toujours fixée et qu’elle se sente enfin pleine. Claw était heureuse. Profondément heureuse. Avec la naissance de son fils, son poste de Grande Sentinelle… Elle pensait avoir atteint son but. Et la bête, tapie en son sein, n’avait jamais été aussi silencieuse. Aussi invisible, faible et chétive. Pour Mylo elle était prête à tous les sacrifices. À tout perdre pour lui. Elle qui avait toujours été dévorée par l’ambition et par ses hautes aspirations avait découvert la joie de la maternité. Et finalement c’était tout ce qui lui importait. Et il fallait que ce soit justement ça qui lui soit arraché.
Sans Mylo la vie n’avait plus la même saveur. Le semblant d’Harmonie qui s’était créé en elle s’était éteint aussi vite qu’un souffle sur une pâle chandelle. Ne laissant la place qu’au Chaos. Qu’à cette souffrance sourde et à ce besoin viscéral de faire du mal. De cracher, frapper, tuer. Du vide qui s’était créé en elle dégueulait une obsession de vengeance. De retrouver ces ordures monstrueuses qui avaient osé s’en prendre à un enfant innocent. Et dans cette quête, Claw s’était perdue. Elle a erré. S’est égarée dans de sombres ruelles. Pour n’en ressortir que plus assoiffée. Que plus carnassière. La violence qui découle chacun de ses actes n’en est que plus forte. Que plus intense. Il lui faut retrouver les meurtriers.Quoi qu’il en coûte.
Et qu’importe si le prix à payer comporte la vie de son époux. Du père de son enfant qui ne cautionne pas. Qui a arrêté de chercher à comprendre. Qui a baissé les bras et a tourné la page. Il a fait son deuil, il a pleuré la perte de Mylo, et il a abandonné l’idée qu’un jour ils pourraient retrouver les commanditaires. Claw, quant à elle, en est bien incapable. Et ne peut que ressentir une certaine amertume mêlée à du dégout quand elle croise à présent son regard. La mère n’arrive pas à comprendre. Ne perçoit en ce geste qu’une preuve de son désintérêt pour leur fils. Il ne devait pas l’aimer, ce n’est pas possible autrement. Sinon comment pourrait-il faire comme si de rien était ? Les tensions n’ont fait qu’accroitre entre eux. Jusqu’à atteindre ce point de non-retour.
Il est devenu une épine dans son pied. Trop dangereuse pour la laisser au risque qu’elle ne se développe et qu’elle cause des dommages irréparables. Sa menace de la veille a été la goutte de trop. Il faut qu’il disparaisse. Et le plus tôt sera le mieux. Alors la voilà qui pénètre dans une de ces tavernes à la sombre réputation de la Capitale, en quête d’une silhouette qu’elle ne tarde pas à repérer. C’est fou ce qu’ils sont reconnaissables, ces mercenaires. À toujours vouloir se fondre dans la partie la plus obscure de la salle, et à dégager une aura telle qu’ils font fuir les clients à plusieurs tables à la ronde. Mais pas elle. Faisant fi des regards partagés entre la surprise de voir une aussi belle femme en ces lieux si sales et l’inquiétude devant sa posture gorgée d’assurance, elle glisse entre les tables, son corps chaloupant avec une démarche féline. Carnassière. « Pour mieux lui faire oublier le fait qu’elle se pose et qu’elle s’impose.
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@ Arès Milgrim
Personnage
la guerre au fond des trippes
un, deux, trois, ça tinte
dix tournois / dawn / claw / leander
le poignard arraché d'l'âme
le sabre persécutél'esprit qui ensorcèle
un, deux, trois, ça tinte
quatre, cinq, six, ça tranche
sept, huit, neuf, ça gicledix, dix, dix, t'es mort.
dix tournois / dawn / claw / leander
faceclaim : Fassbender, par Médée
messages : 159
# pièces : 432
aspiration : [chaos] le sang, la mort, ça gicle, ça vibre, ça fait échoir ton cœur damné, Satan persécuté, toi, toi, tu es le roi renié..
guilde : [épique] les frontaliers que t'as dupés, délaissant leur citadelle évanescente pour des parcours plus inconstants, plus sanguinolents.
race : [raïs] la race inscrite sur ton sourire macabre qui s'étale quand vient le sang qui coule.
âge : [42] les années qui s'empilent, s'entassent, elles vont chuter, les damnées, mais ça t'amuse, de les compter. tu les lances comme des dés, t'émeus du chiffre six. encore, encore, venez les printemps, les étés.
deck : gantelet à griffes # dague # cotte en fer
capacités/pouvoirs : L'épéiste, le sabre comme prolongement de ta main désargentée.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
burning room
@Claw Jil’ Arlan
Lil a les paupières brisées, le souffle rapide d'une jeune âme endormie, dans son linceul de souvenirs illusionnés. Tu dresses tes iris énamourées sur son corps indolent, de ce calme qui t'étreint lorsque sur elle, tu figes tes prunelles sombres.
Elle est la lumière dans les tréfonds de ton obscurité.
Tes pensées s'échappent dans quelques lugubres vestiges du passé. Comme bien souvent, dans les vicissitudes sombres de la nuit, c'est cette image liminaire qui assène de violentes coups de dague au creux de ton âme.
Le sang, partout. Rouge plasma -- hémoglobine.
Lil se mêle à ton enfer. Le monstre se repaît de tes craintes, de tes douleurs. De tes errements. Il t'impose la vision du corps de Lil assoupi gorgé de ces goutelles rougeâtres que tu fis couler autrefois de ton mentor.
Tes mains contre ta tête, l'envie de hurler qui t'assaille, tempête au fond du palpitant. C'est empli defracas , la dedans, qui contraste avec le silence de la chambre.
Il te faut sortir -- respirer l'air du dehors, l'air macabre de la capitale.
Tes pas te mènent, sans que tu ne saches comment, dans ce bouge immonde qui recueille nombre d'âmes en peine. Tu respires le désespoir, Arès, effraies le manant, de tes iris sombres qui ne se posent jamais, vacillent d'un bord à l'autre, de l'harmonie d'autrefois, auchaos qui te tend les bras.
Le monstre s'amuse dans ton âme, prend un malin plaisir à te détruire, à t'astreindre à des images mentales obscures et sanguinolentes. Tu voudrais crier, hurler, te taper la tête contre les murs, pour faire taire ces voix malsaines et perverses qui sans cesse s'agitent en toi.
Tu n'en fais rien, t'installes sans mot dire sur une table reculée, là où d'autres mercenaires - comme toi, bien souvent - attendent leurs victimes à dépecer.
Deux êtres virginaux à la blondeur épurée ne tardent pas à fuir ton insupportable présence, pour se décaler sur le devant de la scène.
Tonsupplice est si palpable qu'il fend l'air, Arès.
Tu es tellement en proie à tes errements personnels que tu ne distingues même pas la silhouette chaloupée qui se fraye un chemin dans ce bouge jusqu'à toi. Tressautes lorsque sa voix vient caresser tes oreilles. Elle te ramène au réel, te sauve pour un temps de ce monstre béant.
Tu dresses des yeux éperdus sur son visage condamné, sais reconnaître les âmes damnées, pour en être. Quelque chose en elle fait écho à ton affliction, miroir patibulaire qu'elle dresse devant toi.
Elle s'installe, sans même que tu ne répondes, et son geste fait naître un vague sourire sur ton visage amer. Elle a l'audace inscrite en lettres de feu sur le minois, l'inconnue. Elle a le mérite de calmer le monstre, un instant, quelques secondes - répit inespéré. Elle obtient donc toute ton attention.
" t'ais-je l'air si effrayant ? " Tu dresses tes prunelles à l'intérieur des siennes, sondes son âme par la pâleur de ses iris. Elle est endeuillée, la jolie blonde, cette évidence crève l'air de sa réalité. Elle est souffrance, toute entière balancée par la peine qui se lit dans ses pommettes, dans son port de tête, jusque dans le fond de ses yeux sombres.
d'antithèse . Elle éveille en toi une curiosité, accentuée par la silhouette aguicheuse et charmeuse dont elle se pare. Car elle en joue, l'inconnue, tu la vois replacer sa mèche, séductrice, provocatrice, non -- inconsciente.
A trop jouer avec le feu, on se brûle.
Et elle ne semble pas posséder la force de lutter contre le monstre qui te broie l'âme.
Tu es naïf, Arès. Tu ignores encore à qui tu as à faire.
" je ne refuse jamais un verre à une jolie femme. " Ta voix résonne dans le bouge, quelques mercenaires avares dressent sur vous des regards emplis d'une jalousie palpable, d'autres encore déshabillent avec luxure la splendeur blonde qui te fait face. Elle a bien de la chance d'être assise à ta table, cela réduit ses risques de finir en chair à vauriens.
Voilà que tu te rêves en protecteur de la veuve, Arès.
Range tes espoirs, celle qui te fait face te broie en un regard.
" oh, au fait, je t'en prie, installe-toi. " Réagir à son audace, marquer que tu l'as noté. Comme si tu avais du contrôle sur la soirée, ancien frontalier, comme si elle n'était pas un second monstre prêt à te bouffer l'âme.
Elle est la lumière dans les tréfonds de ton obscurité.
Tes pensées s'échappent dans quelques lugubres vestiges du passé. Comme bien souvent, dans les vicissitudes sombres de la nuit, c'est cette image liminaire qui assène de violentes coups de dague au creux de ton âme.
Le sang, partout. Rouge plasma -- hémoglobine.
Lil se mêle à ton enfer. Le monstre se repaît de tes craintes, de tes douleurs. De tes errements. Il t'impose la vision du corps de Lil assoupi gorgé de ces goutelles rougeâtres que tu fis couler autrefois de ton mentor.
Tes mains contre ta tête, l'envie de hurler qui t'assaille, tempête au fond du palpitant. C'est empli de
Il te faut sortir -- respirer l'air du dehors, l'air macabre de la capitale.
Tes pas te mènent, sans que tu ne saches comment, dans ce bouge immonde qui recueille nombre d'âmes en peine. Tu respires le désespoir, Arès, effraies le manant, de tes iris sombres qui ne se posent jamais, vacillent d'un bord à l'autre, de l'harmonie d'autrefois, au
Le monstre s'amuse dans ton âme, prend un malin plaisir à te détruire, à t'astreindre à des images mentales obscures et sanguinolentes. Tu voudrais crier, hurler, te taper la tête contre les murs, pour faire taire ces voix malsaines et perverses qui sans cesse s'agitent en toi.
Tu n'en fais rien, t'installes sans mot dire sur une table reculée, là où d'autres mercenaires - comme toi, bien souvent - attendent leurs victimes à dépecer.
Deux êtres virginaux à la blondeur épurée ne tardent pas à fuir ton insupportable présence, pour se décaler sur le devant de la scène.
Ton
Orage cérébral, tempête psychique. -- Cruauté animale.
Tu es tellement en proie à tes errements personnels que tu ne distingues même pas la silhouette chaloupée qui se fraye un chemin dans ce bouge jusqu'à toi. Tressautes lorsque sa voix vient caresser tes oreilles. Elle te ramène au réel, te sauve pour un temps de ce monstre béant.
Tu dresses des yeux éperdus sur son visage condamné, sais reconnaître les âmes damnées, pour en être. Quelque chose en elle fait écho à ton affliction, miroir patibulaire qu'elle dresse devant toi.
Elle s'installe, sans même que tu ne répondes, et son geste fait naître un vague sourire sur ton visage amer. Elle a l'audace inscrite en lettres de feu sur le minois, l'inconnue. Elle a le mérite de calmer le monstre, un instant, quelques secondes - répit inespéré. Elle obtient donc toute ton attention.
Elle porte la douleur comme Atlas le monde entier.
Frêles épaules, mais force marquée, la jolie blonde a des accents A trop jouer avec le feu, on se brûle.
Et elle ne semble pas posséder la force de lutter contre le monstre qui te broie l'âme.
Tu es naïf, Arès. Tu ignores encore à qui tu as à faire.
Voilà que tu te rêves en protecteur de la veuve, Arès.
Range tes espoirs, celle qui te fait face te broie en un regard.
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@ Claw Jil' Arlan
Personnage
sombres.
sombres pensées.
sombres cœurs.
sombres cœurs.
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messages : 192
# pièces : 412
aspiration : (chaos) l'étincelle d'harmonie, aussi frêle qu'éphémère, s'est éteinte en même temps que son fils. ne laissant qu'obscurité et élans vengeurs.
guilde : (grande sentinelle) loup dans la bergerie, censé repousser la menace à laquelle pourtant il aspire.
race : (humaine) rumeur d'une ascendance ts'liche qu'elle se plait à faire prospérer. semer le doute pour que la banale vérité se transforme en sombre passé.
âge : (quarante-deux ans) qu'elle foule la terre vaine, semant destruction et désillusions dans son sillage.
statut : (aisé) l'ambition qui dicte ses pas, la notoriété qu'elle caresse du bout des doigts.
deck : (base)
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capacités/pouvoirs : (base)
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L'univers alavirien
tw: rien à souligner.
pronoms: elle.
nombre de mots: 700 en moyenne.
disponibilités rp: bientôt.
double face: nope.
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disponibilités rp: bientôt.
double face: nope.
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octobre 2017.
@Arès Milgrim
À une jolie femme.
Rictus qui se peint sur ses lèvres, qui illumine son si joli minois pour le rendre encore plus attrayant. Irrésistible. Car c’est bien de ça qu’il s’agit. D’un jeu de séduction. D’un petit jeu dangereux auquel elle s’adonne. À trop bien jouer la jolie femme effarouchée. La petite souris qui danse d’une manière éhontée devant ce gros chat aux griffes acérées. Elle attire l’attention, Claw. Use et abuse de cet excès de confiance mêlé à un sourire désarmant. Où qu’elle passe, elle veut qu’on la voit. Qu’on la jalouse. Qu’on la dévore. Qu’importe si à trop braquer les regards dans sa direction elle appâte le danger. Car inconscient serait celui à la sous-estimer. Claw se la joue poupée de porcelaine disloquée. Se complait dans cette tendre fragilité pour mieux captiver l’assemblée. Pour emballer les cœurs et enflammer les âmes. Qu’ils se sentent puissants. Dominants. Qu’ils pensent avoir le contrôle et le poids nécessaire pour l’écraser. Pour profiter d’elle et pour l’anéantir. Jusqu’à ce que l’arroseur devienne l’arrosé. Que la roue du Destin tourne et que le prédateur devienne la proie. Car sous le masque, il n’y a rien de joli.
Y’a que du pourri. Du renfermé. De la noirceur qui se mêle au chaos, se nourrissant de souffrance et s’exprimant par le biais de la violence. Sous l’apparence de jolie femme, il y a la bête. Sous sa plus sombre apparence. Peu reluisante. Dégoutante. Effarante. Heureusement que les faux-semblants sont de rigueur, car sinon tous prendraient la fuite. Pour la laisser plus seule que jamais. Et de ça, elle n’y survivrait pas. Alors oui, les apparences sont capitales. Surtout les petits détails qui semblent faire mouche. Claw capte l’attention du mercenaire, qui se permet un léger rictus amusé. Bien. Les choses sérieuses peuvent commencer. Mais avant cela… Sa main se lève tandis que son corps pivote vers le bar situé dans son dos. Et la voilà ainsi qui hèle le tavernier, sans la moindre retenue ni discrétion, « Il en va de leur propre (sur)vie.
Dès que le tavernier a acquiescé et qu’il s’empresse d’exaucer son vœu, Claw se retourne pour reprendre sa position initiale face au mercenaire. Elle n’a pas bronché face au tutoiement dont il s’est paré. Face à cet excès de familiarité dont son éducation pourrait s’offusquer. Il ne la considère pas avec respect. Pas avec égalité. Parfait. Qu’il continue de la sous-estimer. La sentence n’en sera que plus douloureuse. Tout comme la leçon qu’elle inscrira au fer rouge sur sa fierté mal placée s’il tente d’en abuser. « Qu’il se fasse choisir.
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