Dawn ☾ Aux roses, jetée.
@ dawn lyriant
Personnage
Flamme intérieure
Qui illumine
Et protège.
Qui illumine
Et protège.
faceclaim : astrid berges (BurnOnFire ♥ )
messages : 168
# pièces : 168
aspiration : Harmonie
guilde : Frontaliers
race : Humaine
âge : 31 ans
statut : Commandante de la légion noire
deck : gantelet à griffes + dague
capacités/pouvoirs : l'arc, comme un prolongement du bras, comme une extension de l'âme
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
Dawn Lyriant
taking a closer look
de l'autre côté du miroir
histoire
A l'heure où les fanions des fêtes recouvraient les maisons, et que des lampions illuminés de douce flammes dessinées par quelques dessinateurs au talent moindre, une maisonnée plongée dans le noir s'éveillait aux hurlements de douleur d'une jeune femme. S'ils avaient quitté la dureté des villes plusieurs années auparavant, créant une communauté autosuffisante qui parvenait à se tenir à l'abri du reste du monde, ses habitants s'étaient également passés, par là, du secours des rêveurs lors de blessures et autres accouchements. L'Exploitation, comme ils l'avaient nommée très sobrement, jetait sur le sol ses ombres de simplicité et d'authenticité, amputées du moindre confort que l'on pouvait trouver dans les villes. La jeune femme adressa un sourire douloureux à son époux, souhaitant le rassurer, mais la flamme dans ses yeux ne mentaient pas; elle souffrait plus que de raison. L'accoucheuse l'aida de son mieux à souffler, respirant au même rythme qu'un enfant tout juste venu au monde. Les rires et la musique des fêtes célébrant le retour de la neige couvraient quelque peu les cris de douleur qu'elle ne parvenait pas à contenir et bientôt, un autre recouvrit l'essoufflement et les encouragements. Elle était belle, cette enfant qui venait tout juste de pointer le bout de son nez, elle était belle et elle ne pleura pas, se contentant de dormir paisiblement contre le sein de sa mère. L'hiver s'écoula paisiblement, et rapidement, les semaines succédèrent aux jours, et les rires d'enfant, aux cris.
Ca avait été une journée très tranquille. Le soleil avait brillé très haut dans le ciel, écrasant l'Exploitation d'une chaleur bienvenue en cette fin de printemps et c'est avec une joie pas du tout dissimulée que les enfants l'habitant avaient filé quand le jour était encore jeune pour gravir les collines alentours, et courir les champs, aussi vite qu'ils le pouvaient, aussi loin qu'il leur était permis d'aller. Cette sensation du vent dans ses longs cheveux bruns, sa robe lui fouettant les chevilles et ce sourire qui ne la quittait pas, elle allait s'en rappeler pendant des années. L'herbe était déjà haute dans la lande qui les entourait et le ruisseau traversant l'Exploitation et s'écoulant jusqu'à la forêt de l'est avait accueilli leur repos de l'après-midi, et ils avaient même eu l'audace d'y tremper leurs pieds, mouillant par là leurs chausses et le bas de leurs habits, pour les plus aventureux. Et elle l'était, ça oui, mais elle n'avait pas souhaité risquer abimer les atours que sa mère lui avait faits, ils étaient neufs de cette année, aussi ne s'était-elle pas risquée à la baignade. Seule enfant de la maisonnée, Papa et Maman lui avaient déjà expliqué qu'il n'y aurait qu'elle, et assuré qu'elle les comblait déjà au plus haut point. Jamais elle ne sut la vérité à ce sujet, mais jamais elle ne manqua d'amour, ni de compagnons de bêtises. Ca avait été une journée tranquille et ils se couchèrent après un repas partagé et une histoire racontée; une histoire d'aventures très probablement, dans laquelle il y avait Merwyn, c'était certain. La cloche sonna très tard dans la nuit, quand les ténèbres avaient achevé se dissiper entre chaque maisonnée, d'entrer dans chaque étable. La cloche sonna un moment avant d'être brutalement stoppée, son sonneur violemment empêché par une flèche fichée dans sa gorge. Les Raïs déferlèrent sur l'Exploitation avec la force d'un raz de marée. Les hurlements, autant que la cloche d'alerte réveillèrent la petite fille qui dormait dans son lit et sans plus attendre, elle rejoignit ses parents qui venaient de s'éveiller également. Ils sortirent par une fenêtre, coururent, les pleurs se mêlant à son souffle court, ses pieds nus s'écorchant contre les pierres de la rue principale avant que sa mère de la soulève du sol. Enfouie dans son cou, elle leva le regard vers le village. Des flammes léchaient chaque bâtiment qu'elle pouvait discerner, des ombres courraient dans les rues, tentant d'échapper à leurs bourreaux et ces hurlements, Merwyn, ces hurlements. Le cri des bêtes n'avaient d'échos que les suppliques de terreur bien trop souvent violemment interrompus dans des gargouillis sanglants et elle cacha son visage dans les cheveux de sa mère qui tentait d'essayer la rassurer. Ils sortirent par une palissade branlante et continuèrent leur course. Deux flèches brisèrent celle de son père. Elles étaient seules maintenant, elles pleuraient mais pourtant, sa mère n'arrêtait pas de courir. Ils les rattrapèrent dans la clairière du bois vert, le premier des forêts de l'est, celles où elle n'avait jamais le droit de s'aventurer seule. Alors que leurs assaillants les rattrapaient, sa mère lui chuchota "excuse moi Lilya, mais tu dois survivre, quoi qu'il en coûte. alors ne dis rien, excuse moi, excuse moi, mais ne dis rien..." Le visage ruisselant de larmes, elle décrocha la petite fille de son cou et la fit tomber dans un buisson avant de se retourner en sortant une dague de sa ceinture. Un buisson de roses. De grandes roses rouges qui sentaient bon. Elle les observait, allongée dans le buisson, la peau meurtrie à une centaine d'endroits par les épines, écoutant sa mère tomber au combat. Des roses. Comme elles sentaient bon..
Neuf années. Neuf années étaient passées depuis ce sombre jour où un bataillon de frontaliers chargé de ramener la paix dans Gwendalavir avaient exterminé le groupe de Raïs qui les avaient tous massacré. Neuf années qu'ils avaient remonté les traces jusqu'à Lilya dans son buisson et l'en avait extraite, pour la ramener avec eux à la Citadelle, après avoir enterré tous les corps des malheureux. Neuf années qu'on lui avait proposé de prendre un nouveau prénom, et qu'elle avait abandonné Lilya aux épines et à la douleur, pour devenir Dawn. Neuf années qu'elle était surnommée l'enfant aux roses, sans qu'elle cherche à leur retirer le plaisir de la qualifier de la sorte. Elle était l'enfant aux roses et elle avait fait ce qu'il fallait pour survivre, se taisant en écoutant la mort de sa mère, se taisant en attendant que quelqu'un vienne la secourir, parce qu'il fallait qu'elle vive, quoi qu'il en coûte. Neuf années passées à s'entraîner, à apprendre aux côtés d'hommes et de femmes aux histoires variées mais aux chemins voués depuis le début à se croiser et depuis neuf années, elle se sentait chez elle. Pas comme cela avait été à l'Exploitation, un chez elle bâti dans les larmes et la sueur, mais un chez elle rassurant, réconfortant. Elle quitta la Citadelle à dos de cheval pour parcourir le monde, consciente que ses pas l'y ramèneraient irrémédiablement, pressée, mais impatiente de gagner sa vie par ses propres moyens.
Une année entière était passée et elle avait fait le tour de leur monde. Elle avait campé sur les rives de l'Oeil, visité la forêt des petits, vu Tintiane, Al-far, galopé dans les plateaux d'Astariul et chaque rencontre avait eu le goût sucré de l'amour et celui plus mesuré de l'apprentissage. Elle avait emmagasiné tant de souvenirs qu'ils auraient pu suffire à la réchauffer l'hiver qu'elle passa sur la route, mais elle retrouva tout de même le chemin de la Citadelle; son maître d'armes lui avait proposé de passer les Dix Tournois l'année précédente mais elle ne s'était pas sentie prête. Elle se présenta vêtue de l'armure légère des frontaliers, le sourire aux lèvres et une grande natte liant ses cheveux, battant ses omoplates quand elle marchait et elle crut un instant qu'on ne lui laisserait pas participer au tournoi. Le sourire de son vis à vis s'effaça cependant tout à fait lorsqu'elle lui remis l'ordre de mission de son maître et, dans une légère courbette, il la laissa passer. Elle s'illustra dans chacune des épreuves, du sabre au javelot mais elle marqua assurément l'esprit des spectateurs lors de l'épreuve à l'arc. Elle était devenue flamme, elle était devenue souffle et personne ne parvint à décrire correctement comment elle s'y était prise. Corde tendue contre sa joue, il ne semblait y avoir aucune tension dans le bras qu'elle avait remonté à son épaule comme si l'arc avait été une extension de sa main, comme s'il faisait partie d'elle, et elle continua sa danse, écrasant jusqu'aux espoirs de ses concurrents. Mais la victoire ne résidait pas uniquement dans sa première place; on lui proposa d'intégrer la Légion Noire et comme elle en rêvait depuis qu'elle avait rejoint la Citadelle, elle éclata d'un rire bruyant, serra contre elle le responsable de la Légion Noire, oubliant toute formalité et accepta avec plaisir le poste.
Elle y était revenue, bien sûr. Des années plus tard, elle avait remonté la trace de l'Exploitation, grâce à l'aide de celui qui l'avait retrouvée dans le buisson aux roses et à grand renfort des cartes de Gwendalavir qu'elle avait pu trouver à la Citadelle. Elle avait pu établir un grand cercle de recherches entre les montagnes de l'Est, le début de la forêt et le chemin que ce Frontalier se rappelait avoir pris des années auparavant. Elle y était revenue, prenant un congés ardemment soutenu par ses supérieurs, leur expliquant qu'il était temps de cicatriser son passé. Elle était partie, son arc et quelques victuailles pour seules possessions, et son cheval pour l'accompagner dans cette nouvelle aventure, la plus importante qu'elle ait jamais mené à bien. Le paysage avait changé devant elle, et même si l'été était bien avancé, la traversée des montagnes fut aussi glaciale qu'elle s'y était attendue. Mais chaque étape était un voyage, chaque fois qu'elle tournait son visage vers le paysage au dessous, c'était une nouvelle poésie lui venant en tête, de nouveaux mots à faire rimer, de nouveaux rêves à venir. Elle guérissait de l'absence de ses parents, de la douleur d'avoir été seule, du buisson aux roses; elle guérissait à mesure qu'elle se rapprochait de ce qui avait été sa première maison et bientôt, la rambarde en bois qui faisait le tour du village se dressa devant elle. Debout sur une colline la surplombant, son cheval à côté d'elle, elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Le village n'était plus que ruines; le bois des maisons était calciné et certains des toits s'étaient effondrés, les fenêtres étaient brisées et l'on pouvait discerner au travers de certaines quelques épais rideaux pendant encore, paresseusement secoués par la brise, la place principale était déserte, et la végétation avait repris ses droits, l'envahissant tout à fait, un lierre sauvage enveloppant les demeures froides. L'Exploitation avait été un rêve et aujourd'hui, il n'en restait que des cendres. Elle attacha son cheval et poursuivit à pied, découvrant les restes calcinés de Raïs que n'avaient pas pris le temps d'enterrer les frontaliers. Elle déambula dans les rues désertes et désincarnées de son village, frappée par le silence qui avait envahi les rues, le bruit de ses bottes résonnant contre les maisons détruites. Une cheminée attira son attention, plus que les autres et elle pénétra la demeure par un tout béant formé dans le mur. Elle lui semblait si petite, cette maison. Elle tenta de remettre ses souvenirs en place, montant l'escalier, sautant sur le palier du premier étage pour éviter tomber dans un trou formant une marche. S'asseyant sur le lit qui avait abrité ses premiers rêves d'enfants, ses premiers cauchemars chassés par la voix rassurante de son père, ses premiers virus qui semblaient s'apaiser chaque fois que sa mère embrassait son front, elle repensa à tout cela, là, et elle pleura. Une paire d'heures passa avant qu'elle retrouve son équilibre et elle quitta la maison, suivant le chemin que sa mère avait fait des années auparavant et, le coeur bouleversé par la nostalgie, elle mit genou à terre devant un immense buisson aux roses étonnantes de parfum et d'un rouge profond. "J'ai survécu, Mère. Merci pour tout..."
Bien des années plus tard, Dawn avait monté les marches escarpées et pas toujours assurées des frontaliers, à l'aide de son esprit vif, de ses prises de position toujours justes et de ses résultats impeccables en terme d'encadrement. Elle était ce genre d'âmes qui s'offrait généreusement aux autres, qui donnait tout, sans compter, qui aidait à avancer, qui faisait grandir. Il lui tenait à coeur d'aider les autres, comme on l'avait aidé, car elle n'oubliait pas qu'une petite phrase, un geste désintéressé pouvait guider la vie d'une âme perdue, comme ce jour où un Frontalier avait tenu à suivre des traces désordonnées, pour s'assurer que personne n'avait besoin d'aide. Commandante de la Légion Noire, elle avait pour passion l'accompagnement des jeunes recrues et l'entrainement de ces hommes et femmes qui apprenaient à diriger leur vie, et pour qui elle aurait donné la sienne.
me contacter
@ Maud Abelfort
Personnage
La douleur infinie de celui qui reste,
Comme un pâle reflet de l'infini voyage,
Qui attend celui qui part.
Comme un pâle reflet de l'infini voyage,
Qui attend celui qui part.
faceclaim : Inbar Lavi + Burnonfire
messages : 746
# pièces : 864
aspiration : Harmonie jusqu'au bout des ongles.
guilde : Marchombre, la Guilde de l'ombre qui se bat pour la Lumière.
race : Humaine.
âge : 30 ans, la sagesse arrive à mesure que la jeunesse se perd.
statut : Occupations variées, en fonction de ses besoins.
deck : Objet 01 Gantelet à griffes (deck de base)
Objet 02 1 Dagues (deck de base)
Objet 03 2 Dagues en fer (achetées)
Objet 02 1 Dagues (deck de base)
Objet 03 2 Dagues en fer (achetées)
capacités/pouvoirs : Gestuelle Marchombre, souffle ancré en elle, partie prenante de son identité.
Poésie Marchombre, quand les émotions sont trop fortes, l'écriture éphémère la soulage de ses maux.
Greffe, accordée par le Rentaï. Maud a la capacité d'attirer les objets en métal à elle, capacité qu'elle garde secrète pour pouvoir l'utiliser quand la situation est critique.
Niveau dessin, elle n'a aucun don. Elle peut allumer une flamme avec difficulté, mais c'est tout.
Poésie Marchombre, quand les émotions sont trop fortes, l'écriture éphémère la soulage de ses maux.
Greffe, accordée par le Rentaï. Maud a la capacité d'attirer les objets en métal à elle, capacité qu'elle garde secrète pour pouvoir l'utiliser quand la situation est critique.
Niveau dessin, elle n'a aucun don. Elle peut allumer une flamme avec difficulté, mais c'est tout.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: Descriptions graphiques de sang, violences sex*elles.
pronoms: Elle pour la joueuse et le personnage.
nombre de mots: Je m'adapte à maon partenaire.
disponibilités rp: Libre, 5 rps en cours.
double face: Ambre Til'Erhan (Jessica Alexander)
L'univers alavirien
tw: Descriptions graphiques de sang, violences sex*elles.
pronoms: Elle pour la joueuse et le personnage.
nombre de mots: Je m'adapte à maon partenaire.
disponibilités rp: Libre, 5 rps en cours.
double face: Ambre Til'Erhan (Jessica Alexander)
Bienvenuuuue avec cette beauté ! J'ai hâte d'en savoir plus sur Dawn !
me contacter
@ Médée Vil' Reiss
Personnage
faceclaim : phoebe tonkin. ft/les amours lunaires.
messages : 411
# pièces : 121
aspiration : L'Harmonie autour du cou comme un bijou, pierre lustrée aux allures hédoniques.
guilde : Marchombre, la liberté en étendard.
race : Humaine.
âge : Vingt-neuf ans, et les ridules qui commencent à marquer son visage autrefois jouvenceau. La peur de l'avenir, la terreur de ce miroir qui tend à se briser.
statut : Son agilité au service des caravanes itinérantes, sa fragilité enfermée dans son cœur pur vacillant aux rayons de la lune..
deck : gantelet à griffes. # dague.
capacités/pouvoirs : La gestuelle marchombre au fond d'elle-même. # La poésie qui virevolte sur le bout des doigts qu'elle envoie d'une trainée d'argent vers les rayons de la lune. # Greffe, un tatouage de cible dans le cou duquel peuvent sortir des flèches acérées.
compagnon : Rune, son loup du nord, bête au tempérament de feu et aux griffes acérées.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: pas de tw spécifique à souligner, pour l'instant.
pronoms: elle (elle).
nombre de mots: entre 600 et 1500 mots.
disponibilités rp: [5/5] tout à fait disponible.
double face: Pas encore.
L'univers alavirien
tw: pas de tw spécifique à souligner, pour l'instant.
pronoms: elle (elle).
nombre de mots: entre 600 et 1500 mots.
disponibilités rp: [5/5] tout à fait disponible.
double face: Pas encore.
Euh ????enfant de la pierre, enfant de l'hiver, dawn est née au sud des montagnes de l'est, il y a un peu plus de trente et un ans. C'est tout du moins l'âge qu'elle pense avoir après de nombreuses heures passées dans le silence de sa chambre, à le calculer.
Tu as une plume vraiment magnifique, c'est un régal de te lire. Et avec Dawn en plus, si belle sous les traits d'astrid, mamamia, je ne sais même plus que dire.
Je te souhaite la bienvenue chez toi, officiellement, cette fois, beaucoup de courage pour ta fiche, et surtout, surtout, n'hésite pas à venir hanter ma boîte mp si t'en ressens le besoin -- ou pas.
PS : on aime les timides, tqt, on va t'intégrer comme il se doit.
@ Arès Milgrim
Personnage
la guerre au fond des trippes
un, deux, trois, ça tinte
dix tournois / dawn / claw / leander
le poignard arraché d'l'âme
le sabre persécutél'esprit qui ensorcèle
un, deux, trois, ça tinte
quatre, cinq, six, ça tranche
sept, huit, neuf, ça gicledix, dix, dix, t'es mort.
dix tournois / dawn / claw / leander
faceclaim : Fassbender, par Médée
messages : 159
# pièces : 432
aspiration : [chaos] le sang, la mort, ça gicle, ça vibre, ça fait échoir ton cœur damné, Satan persécuté, toi, toi, tu es le roi renié..
guilde : [épique] les frontaliers que t'as dupés, délaissant leur citadelle évanescente pour des parcours plus inconstants, plus sanguinolents.
race : [raïs] la race inscrite sur ton sourire macabre qui s'étale quand vient le sang qui coule.
âge : [42] les années qui s'empilent, s'entassent, elles vont chuter, les damnées, mais ça t'amuse, de les compter. tu les lances comme des dés, t'émeus du chiffre six. encore, encore, venez les printemps, les étés.
deck : gantelet à griffes # dague # cotte en fer
capacités/pouvoirs : L'épéiste, le sabre comme prolongement de ta main désargentée.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
Bienvenue à la maison, avec tous ces choix qui me vont vibrer l'âme.
Et cette plume qui se dessine ne peut laisser indifférent.e. Je me languis d'en lire encore davantage, et surtout de tisser un petit quelque chose avec Dawn, ce qui ne sera pas difficile, étant donné mon passé sombre chez les frontaliers.
Bon courage pour la suite, et comme l'a si justement souligné ma voisine du dessus, n'ais aucune crainte à nous mpotter à la moindre interrogation.
Et cette plume qui se dessine ne peut laisser indifférent.e. Je me languis d'en lire encore davantage, et surtout de tisser un petit quelque chose avec Dawn, ce qui ne sera pas difficile, étant donné mon passé sombre chez les frontaliers.
Bon courage pour la suite, et comme l'a si justement souligné ma voisine du dessus, n'ais aucune crainte à nous mpotter à la moindre interrogation.
me contacter
@ dawn lyriant
Personnage
Flamme intérieure
Qui illumine
Et protège.
Qui illumine
Et protège.
faceclaim : astrid berges (BurnOnFire ♥ )
messages : 168
# pièces : 168
aspiration : Harmonie
guilde : Frontaliers
race : Humaine
âge : 31 ans
statut : Commandante de la légion noire
deck : gantelet à griffes + dague
capacités/pouvoirs : l'arc, comme un prolongement du bras, comme une extension de l'âme
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
Merci à vous trois pour cet incroyable accueil !
J'ai bien avancé dans ma fiche, je pense pouvoir la terminer ce soir !
Et oui, @Arès Milgrim, j'ai bien lu ta fiche, je crois que nous trouverons facilement quelque chose, et de la matière à RP ensemble !
J'ai bien avancé dans ma fiche, je pense pouvoir la terminer ce soir !
Et oui, @Arès Milgrim, j'ai bien lu ta fiche, je crois que nous trouverons facilement quelque chose, et de la matière à RP ensemble !
me contacter
@ Arès Milgrim
Personnage
la guerre au fond des trippes
un, deux, trois, ça tinte
dix tournois / dawn / claw / leander
le poignard arraché d'l'âme
le sabre persécutél'esprit qui ensorcèle
un, deux, trois, ça tinte
quatre, cinq, six, ça tranche
sept, huit, neuf, ça gicledix, dix, dix, t'es mort.
dix tournois / dawn / claw / leander
faceclaim : Fassbender, par Médée
messages : 159
# pièces : 432
aspiration : [chaos] le sang, la mort, ça gicle, ça vibre, ça fait échoir ton cœur damné, Satan persécuté, toi, toi, tu es le roi renié..
guilde : [épique] les frontaliers que t'as dupés, délaissant leur citadelle évanescente pour des parcours plus inconstants, plus sanguinolents.
race : [raïs] la race inscrite sur ton sourire macabre qui s'étale quand vient le sang qui coule.
âge : [42] les années qui s'empilent, s'entassent, elles vont chuter, les damnées, mais ça t'amuse, de les compter. tu les lances comme des dés, t'émeus du chiffre six. encore, encore, venez les printemps, les étés.
deck : gantelet à griffes # dague # cotte en fer
capacités/pouvoirs : L'épéiste, le sabre comme prolongement de ta main désargentée.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
félicitations !
Que dire, que dire qui n'a pas été dit, qui ne souillerait pas cette incroyable et magnifique histoire. Ca m'en a tiré les frissons, vraiment, la dame aux roses est si courageuse.
Je ne me remets pas de cette écriture de cette fameuse nuit, et de ce qu'elle a provoqué chez la nouvellement nommée Dawn. J'aime comment tu as donné vie à ce poste vacant, des choses que nous n'avions même pas imaginées mais qui sonnent comme une évidence.
Je ne peux que te valider avec un plaisir non feint, j'ai juste une toute petite chose à te demander avant de déplacer officiellement ta fiche : peux-tu, s'il te plait, dans la partie passeport alavirien, développer un tout petit peu la guilde, en explicitant les rapports qu'elle entretient avec la citadelle des frontaliers ?
Une fois ceci fait, n'hésite pas à poster à ma suite et je déplacerai le sujet.
Je ne me remets pas de cette écriture de cette fameuse nuit, et de ce qu'elle a provoqué chez la nouvellement nommée Dawn. J'aime comment tu as donné vie à ce poste vacant, des choses que nous n'avions même pas imaginées mais qui sonnent comme une évidence.
Je ne peux que te valider avec un plaisir non feint, j'ai juste une toute petite chose à te demander avant de déplacer officiellement ta fiche : peux-tu, s'il te plait, dans la partie passeport alavirien, développer un tout petit peu la guilde, en explicitant les rapports qu'elle entretient avec la citadelle des frontaliers ?
Une fois ceci fait, n'hésite pas à poster à ma suite et je déplacerai le sujet.
que faire, maintenant ?
C'est maintenant que ton aventure commence. Il te faut néanmoins mettre en place un certain nombre de choses dès le départ. D'abord, il te faut remplir ton
Maintenant, les choses
Bon jeu !
me contacter
@ dawn lyriant
Personnage
Flamme intérieure
Qui illumine
Et protège.
Qui illumine
Et protège.
faceclaim : astrid berges (BurnOnFire ♥ )
messages : 168
# pièces : 168
aspiration : Harmonie
guilde : Frontaliers
race : Humaine
âge : 31 ans
statut : Commandante de la légion noire
deck : gantelet à griffes + dague
capacités/pouvoirs : l'arc, comme un prolongement du bras, comme une extension de l'âme
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
L'univers alavirien
tw: pédophilie/maltraitance animale
pronoms: elle.
nombre de mots: 400/500 mots
disponibilités rp: +++
double face: /
Pfiou, tant de gentils mots @Arès Milgrim
Merci pour tout ...
J'ai ajouté un petit quelque chose, est-ce que cela convient?
Merci pour tout ...
J'ai ajouté un petit quelque chose, est-ce que cela convient?
me contacter
@ Arès Milgrim
Personnage
la guerre au fond des trippes
un, deux, trois, ça tinte
dix tournois / dawn / claw / leander
le poignard arraché d'l'âme
le sabre persécutél'esprit qui ensorcèle
un, deux, trois, ça tinte
quatre, cinq, six, ça tranche
sept, huit, neuf, ça gicledix, dix, dix, t'es mort.
dix tournois / dawn / claw / leander
faceclaim : Fassbender, par Médée
messages : 159
# pièces : 432
aspiration : [chaos] le sang, la mort, ça gicle, ça vibre, ça fait échoir ton cœur damné, Satan persécuté, toi, toi, tu es le roi renié..
guilde : [épique] les frontaliers que t'as dupés, délaissant leur citadelle évanescente pour des parcours plus inconstants, plus sanguinolents.
race : [raïs] la race inscrite sur ton sourire macabre qui s'étale quand vient le sang qui coule.
âge : [42] les années qui s'empilent, s'entassent, elles vont chuter, les damnées, mais ça t'amuse, de les compter. tu les lances comme des dés, t'émeus du chiffre six. encore, encore, venez les printemps, les étés.
deck : gantelet à griffes # dague # cotte en fer
capacités/pouvoirs : L'épéiste, le sabre comme prolongement de ta main désargentée.
Joueur.se
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
L'univers alavirien
tw: triggers - none, warnings -- manipulation, mensonges, sang, violence physique et parfois psychologique.
pronoms: il (Arès), elle (la joueuse).
nombre de mots: très variable.
disponibilités rp: Dispo (2/5).
double face: Pas de double visage.
Tu l'as fait dans le profil, pourquoi pas, c'est très beau, mais n'hésite pas à l'ajouter également dans ta fiche, dans la partie passeport alavirien.
Je déplace, bonne aventure, nous nous retrouvons de suite dans ton livre du chaos.
Je déplace, bonne aventure, nous nous retrouvons de suite dans ton livre du chaos.
me contacter
@ Contenu sponsorisé
Personnage
Joueur.se
me contacter
|
|